Association Régionale d'Éco-construction du Sud-Ouest
Dernières nouvelles d'ARESO L'ASSEMBLÉE
GÉNÉRALE DE L'ASSOCIATION ARESO SE DÉROULERA LE SAMEDI 2
AVRIL 2016 DE 9H30 À 18H
À LA MAISON DE L'ÉCONOMIE SOLIDAIRE (73 chemin de Mange pommes à Ramonville) À l'ordre du jour : - Rapport moral 2015 - Rapport d'activité 2015 - Rapport financier 2015 - Adoption des rapports moral et financier - Projet d'activité 2016 - Élection de membres au Conseil Collégial Le projet d'activité fera l'objet d'une discussion et d'ateliers après présentation d'un pré-programme. Le midi, nous partagerons les victuailles apportées par chacun-e d'entre nous. Après 18h, nous vous proposons de poursuivre nos échanges lors d'un moment festif. Nous vous attendons nombreuses et nombreux pour continuer l'aventure d'ARESO ! Afin de préparer au mieux ce moment, le Conseil Collégial vous remercie de renseigner le tableau en ligne : Cliquez ici La
rédaction
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Derniers échanges sur le web La liste de diffusion d'éco-bâtir a vu se dérouler un mini-débat autour de la magie de l'informatique, de ses nuages (cloud) et de sa sécurité. Nous en avons retiré une conclusion, exprimée par l'un des protagonistes. Extraits : "(...) questionner le rapport quotidien que nous entretenons individuellement et collectivement avec les "solutions" numériques, en étant assez convaincu qu'elles sont aussi des problèmes. (...) quel mirage prométhéen nous conduit à admettre des ordinateurs des dysfonctionnements rarement constatés dans le rapport usuel aux objets technologiques qui nous peu ou prou rendent notre ordinaire extra ? Il semble que plus la technologie devient pointue plus la distance à l'usager permet d'insérer dans cet espace des opérations non désirées, le plus souvent furtives et toujours très profitables à celui qui tient l'ensemble du système. Je chercher un ordinateur/deux-chevaux, un outil qui réponde juste mes besoins que j'en attends ; pas un truc qui embarque 875 fois plus de capacités dont je n'ai que faire , que je vais payer pour rien et qui vont me poser des problèmes d'usage, d'actualisation, de compatibilité des périphériques, de pérennité, de vulnérabilité aux malveillances ... c'est à dire un ordinateur authentiquement convivial. Ça n'existe pas car la faible technologie ne génère pas assez de dépendance et la convivialité n'est qu'un argument de vente frelaté. (...) Une question simple et utile : si l'informatique a besoin de nous pour générer la filière industrielle que l'on connait, en quoi avons nous vraiment besoin de l'informatique ? Sommes-nous dans l'absolue nécessité de générer des giga tonnes de données et de les stocker dans des endroits improbables ? L'intégralité des informations que nous produisons a-t-elle une vocation à perdurer ad vitam ? |
Prochains Rendez-Vous
Appels à bonnes volontés Le 16 avril au plus tard pour
préparer notre intervention le 17 à la MES. Contacter Pascal
(contact@areso.asso.fr, 06 3242 22 67)
Vite vite, pour le Bazar au Bazacle, les bonnes volontés (contacter Pascal, toujours) |
Devons
nous irrémédiablement organiser nos façons de
travailler, d'échanger, de faire du lien, de penser,
voire de rêver, uniquement à partir d'outils qui de fait
asservissent à leur logique les réseaux que nous
fabriquons et les coopérations que nous développons ...
pour partie dans le but de mettre en question la
technologie et ses capacités aliénantes ? ... ? Comment sortir de ce double bind ? Comment dépasser cette schizophrénie rampante ? Umberto Eco a écrit des choses très pertinente sur la mémoire numérique pointant cette situation inédite et quasi loufoque de l'humanité (au moins sa composante connectée) : penser pouvoir tout garder de ce qui est produit, sans discrimination et qui plus est sur des supports fragiles. (...)" Cela nous fait penser à une réaction sur la liste de diffusion du Fablab toulousain Artilect, à propos de l'engouement pour les imprimantes 3D : "je suis toujours surpris du nombre croissant de personnes qui croient qu’une imprimante 3D peut refaire n’importe qu’elle pièce. C’est faire fi des lois de la résistance des matériaux et de leurs autres propriétés. Remplacer une pièce cassée en métal par de la matière plastique me semble aventureux. Tenue aux UV, à la température (on peut « imprimer » une bride d’échappement ou un support de casserole, je vous laisse deviner son avenir …), souplesse, hygiène, sont aussi des attributs que les « encres 3D» ne peuvent tenir comme les pièces d’origine. Q : Qui peut imprimer une hache ? Un burin ? un bec Bunsen ? un cure-dent ? un cardan de voiture ? un bracelet de montre ? une courroie ? un biberon ? ... R : tout le monde, mais faudra pas l’utiliser ! Ce qui est par contre génial, c’est que la pièce imprimée peut servir pour le moulage dans un matériau qui va répondre aux caractéristiques impératives de la pièce d’origine. On change donc de domaine de compétence, car une fois le « master » réalisé, comment couler la pièce ??? Voilà, la question posée a l’énorme avantage de poser une question qui n’a pas de réponse universelle. Parfois la réponse est… dans la question." |
DANS LES MÉDIASAvez-vous rencontré des articles décrivant les habitats construits pour les migrants à Grande Synthe (région de Haut de France) ? Peut-être les méthodes de construction sont-elles dignes d'intérêt ?Merci de faire passer les informations. |